Ce blog change d'adresse ...
Pour le suivre, dorénavant www.manum.fr
A méditer : Le travail c'est la Santé. Et aussi un peu Fleury Mérogis, les Baumettes...
Des pensées bien pensées à suivre sur Twitter : http://twitter.com/#!/landeyves
quelques unes extraites :
- Copains d'avant sert à regrouper les relations d'antan, Facebook ses amis d'aujourd'hui, et Twitter, ceux de demain.
- A ceux qui pensent qu'il y a trop d'étrangers en France, je rappelle que c'est pire dans le monde.
- Expulsions de ministres : c'est le jeu quand on Romanie.
- Bizarrement, le code de la route est un des seuls ouvrages qui n'ait jamais été traduit en braille.
- Une étude vient de démontrer que statistiquement, Edward aux Mains d'Argent gagne une fois sur trois au Chifoumi.
- Une erreur s'est glissée dans la phrase qui va suivre. Sauras-tu la retrouver ? "Frédéric Lefebvre a pris ses fonctions gouverneMENTALes".
- Besson à l'économie numérique. Chez Orange, on s'apprête à recommencer les expulsions par la fenêtre.
- Rappel : tout petit déjà, Eric Besson a été impliqué dans l'expulsion de sa mère, qui depuis 9 mois n'était plus en règles.
- Si l'on est toujours le con de quelqu'un, je n'ose imaginer celui de Frédéric Lefebvre.
quelques unes extraites :
- Copains d'avant sert à regrouper les relations d'antan, Facebook ses amis d'aujourd'hui, et Twitter, ceux de demain.
- A ceux qui pensent qu'il y a trop d'étrangers en France, je rappelle que c'est pire dans le monde.
- Expulsions de ministres : c'est le jeu quand on Romanie.
- Bizarrement, le code de la route est un des seuls ouvrages qui n'ait jamais été traduit en braille.
- Une étude vient de démontrer que statistiquement, Edward aux Mains d'Argent gagne une fois sur trois au Chifoumi.
- Une erreur s'est glissée dans la phrase qui va suivre. Sauras-tu la retrouver ? "Frédéric Lefebvre a pris ses fonctions gouverneMENTALes".
- Besson à l'économie numérique. Chez Orange, on s'apprête à recommencer les expulsions par la fenêtre.
- Rappel : tout petit déjà, Eric Besson a été impliqué dans l'expulsion de sa mère, qui depuis 9 mois n'était plus en règles.
- Si l'on est toujours le con de quelqu'un, je n'ose imaginer celui de Frédéric Lefebvre.
A voir et à entendre : Dexter remixé ...
Alors que la série "Dexter", racontant la vie d'un tueur en série, vient d'entrer dans sa cinquième saison, l'artiste Pogo a composé ce clip, réalisé uniquement à partir d'images et de sons tirés des quatre premières saisons.
A écouter : ThE bEwItChEd HaNdS
à écouter en cliquant ici ...
The Bewitched Hands | Hard to cry | A Take Away Show from La Blogotheque on Vimeo.
A lire : BD : L'histoire des 3 Adolfs ...
L'Histoire des 3 Adolf (アドルフに告ぐ, Adorufu ni Tsugu?) est un manga en quatre tomes d'Osamu Tezuka publié au Japon entre 1983 et 1985. L'histoire s'axe autour des questions de la Shoah et des relation entre le Japon et l'Allemagne à l'époque du Troisième Reich. Elle débute avec les Jeux Olympiques de Berlin, se déploie durant la seconde Guerre mondiale pour s'achever avec l'essor du conflit israëlo-palestinien.
A lire la présentation faite sur le site internet Animeland ... :
Osamu Tezuka, considéré comme le dieu du manga par tout le Japon, livre assurément son chef-d’œuvre alors que la maladie commence à l’envahir dans les années 80. Ayant vécu lui-même la Seconde Guerre mondiale, il espère, par le biais de cette BD en cinq volumes, éclairer la jeunesse ignorante sur ce sujet. Il faut dire que le Japon a voulu faire table rase de ce sombre épisode de l’humanité et que l’enseignement de l’Histoire de cette époque laisse un peu à désirer. Il se permet même, dans les volumes suivants, de donner son point de vue sur des événements plus proches de nous comme le conflit israélo-palestinien.
Contrairement à ses autres gekiga (Bouddha ou Phénix), L’histoire des 3 Adolf ne fonctionne pas dans l’interprétation. Tezuka raconte une histoire principale digne des plus grands polars américains. On devine d’ailleurs son amour pour ce cinéma. La première partie du manga nous fait énormément penser au merveilleux film Le Troisième homme de Carol Reed. Par la suite, plusieurs références à Orson Welles et même au cinéma français nous confirment que si Tezuka a servi de modèle à tous les mangaka japonais, il était lui-même influencé par les arts du monde entier.
lire la suite en cliquant ici
A lire la présentation faite sur le site internet Animeland ... :
Osamu Tezuka, considéré comme le dieu du manga par tout le Japon, livre assurément son chef-d’œuvre alors que la maladie commence à l’envahir dans les années 80. Ayant vécu lui-même la Seconde Guerre mondiale, il espère, par le biais de cette BD en cinq volumes, éclairer la jeunesse ignorante sur ce sujet. Il faut dire que le Japon a voulu faire table rase de ce sombre épisode de l’humanité et que l’enseignement de l’Histoire de cette époque laisse un peu à désirer. Il se permet même, dans les volumes suivants, de donner son point de vue sur des événements plus proches de nous comme le conflit israélo-palestinien.
Contrairement à ses autres gekiga (Bouddha ou Phénix), L’histoire des 3 Adolf ne fonctionne pas dans l’interprétation. Tezuka raconte une histoire principale digne des plus grands polars américains. On devine d’ailleurs son amour pour ce cinéma. La première partie du manga nous fait énormément penser au merveilleux film Le Troisième homme de Carol Reed. Par la suite, plusieurs références à Orson Welles et même au cinéma français nous confirment que si Tezuka a servi de modèle à tous les mangaka japonais, il était lui-même influencé par les arts du monde entier.
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A voir : 3 films : Vénus Noire, Social Network, Buried
Y avait longtemps ... que je n'avais pas mentionné de films ... car y avait longtemps que je n'avais pas été surpris ... et coup sur coup, 3 films bien différents ....
1/ Vénus Noire, réalisé par Abdellatif Kechiche
Avec Yahima Torres, André Jacobs, Olivier Gourmet
L'histoire : Paris, 1817, enceinte de l'Académie Royale de Médecine. « Je n'ai jamais vu de tête humaine plus semblable à celle des singes ». Face au moulage du corps de Saartjie Baartman, l'anatomiste Georges Cuvier est catégorique. Un parterre de distingués collègues applaudit la démonstration. Sept ans plus tôt, Saartjie, quittait l'Afrique du Sud avec son maître, Caezar, et livrait son corps en pâture au public londonien des foires aux monstres. Femme libre et entravée, elle était l'icône des bas-fonds, la « Vénus Hottentote » promise au mirage d'une ascension dorée...
les critiques en parlent :
Les Inrocks "Vénus noire" est un film d'une noirceur totale mais incandescente, radical au sein d'un genre mainstream (le biopic purement narratif) qui n'avait rien donné d'aussi beau depuis peut-être le "Van Gogh" de Pialat."
Libération : ""Vénus noire", à la matière embrasée c'est tout à la fois un documentaire sur l'acharnement de tous contre une seule, un dispositif sadien pour fétichiste morbide (...) une fable ivre sur le coeur noir des hommes et la blancheur dépravée des femmes (...). Comment Kechiche s'en sort-il? Avec maestria (...)"
2/ The Social Network, réalisé par David Fincher
Avec Jesse Eisenberg, Justin Timberlake, Andrew Garfield
L'histoire : Une soirée bien arrosée d'octobre 2003, Mark Zuckerberg, un étudiant qui vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l'Université de Harvard pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l'utilisateur de voter pour la plus canon. Il baptise le site Facemash. Le succès est instantané : l'information se diffuse à la vitesse de l'éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d'avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée. C'est pourtant à ce moment qu'est né ce qui deviendra Facebook.
Les critiques en parlent :
Chronic'art.com : "En fait, "The Social network" c'est mieux qu'un film sur Facebook, mieux qu'un biopic sur Zuckerberg, mieux qu'un manifeste netocrate. C'est le portrait fidèle, donc secrètement tragique, d'une époque qui croit avancer en appuyant sur F5."
Le Journal du Dimanche : "David Fincher signe une réalisation tendue et passionnante, mêlant de façon subtile les thèmes du pouvoir, de l'argent, de la jalousie, de l'amour et de la trahison qui font les grandes fresques."
3 / Buried, réalisé par Rodrigo Cortes
Avec Ryan Reynolds.
L'histoire : Ouvrez les yeux. Vous êtes dans un espace clos, sous 1 tonne de terre irakienne avec 90 minutes d’oxygène et pour seule connexion vers l’extérieur un téléphone portable à moitié rechargé. Tel est le destin de Paul, entrepreneur Américain pris en otage et enfermé dans une boîte. Le temps file et chaque seconde qui passe le rapproche d’une morte certaine…
Les critiques en parlent :
Brazil : "Comment pourra-t-on éviter d'apprécier ce film violemment anti-américain, antimondialiste où la vie d'une personne ne pèse rien envers les sociétés actuelles ? Et de crier au miracle pour ce huis-clos exceptionnel d'intensité et de maîtrise ! "
Mad Movies : ""Buried" réussit à s'imposer tout au long de ses courtes 95 minutes comme le plus trépident des roller coasters. Un trip claustro qui se clôt par un climax tellement surprenant, jusqu'au-boutiste et poignant qu'on en ressort littéralement concassé. On n'en espérait pas tant..."
1/ Vénus Noire, réalisé par Abdellatif Kechiche
Avec Yahima Torres, André Jacobs, Olivier Gourmet
L'histoire : Paris, 1817, enceinte de l'Académie Royale de Médecine. « Je n'ai jamais vu de tête humaine plus semblable à celle des singes ». Face au moulage du corps de Saartjie Baartman, l'anatomiste Georges Cuvier est catégorique. Un parterre de distingués collègues applaudit la démonstration. Sept ans plus tôt, Saartjie, quittait l'Afrique du Sud avec son maître, Caezar, et livrait son corps en pâture au public londonien des foires aux monstres. Femme libre et entravée, elle était l'icône des bas-fonds, la « Vénus Hottentote » promise au mirage d'une ascension dorée...
les critiques en parlent :
Les Inrocks "Vénus noire" est un film d'une noirceur totale mais incandescente, radical au sein d'un genre mainstream (le biopic purement narratif) qui n'avait rien donné d'aussi beau depuis peut-être le "Van Gogh" de Pialat."
Libération : ""Vénus noire", à la matière embrasée c'est tout à la fois un documentaire sur l'acharnement de tous contre une seule, un dispositif sadien pour fétichiste morbide (...) une fable ivre sur le coeur noir des hommes et la blancheur dépravée des femmes (...). Comment Kechiche s'en sort-il? Avec maestria (...)"
2/ The Social Network, réalisé par David Fincher
Avec Jesse Eisenberg, Justin Timberlake, Andrew Garfield
L'histoire : Une soirée bien arrosée d'octobre 2003, Mark Zuckerberg, un étudiant qui vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l'Université de Harvard pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l'utilisateur de voter pour la plus canon. Il baptise le site Facemash. Le succès est instantané : l'information se diffuse à la vitesse de l'éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d'avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée. C'est pourtant à ce moment qu'est né ce qui deviendra Facebook.
Les critiques en parlent :
Chronic'art.com : "En fait, "The Social network" c'est mieux qu'un film sur Facebook, mieux qu'un biopic sur Zuckerberg, mieux qu'un manifeste netocrate. C'est le portrait fidèle, donc secrètement tragique, d'une époque qui croit avancer en appuyant sur F5."
Le Journal du Dimanche : "David Fincher signe une réalisation tendue et passionnante, mêlant de façon subtile les thèmes du pouvoir, de l'argent, de la jalousie, de l'amour et de la trahison qui font les grandes fresques."
3 / Buried, réalisé par Rodrigo Cortes
Avec Ryan Reynolds.
L'histoire : Ouvrez les yeux. Vous êtes dans un espace clos, sous 1 tonne de terre irakienne avec 90 minutes d’oxygène et pour seule connexion vers l’extérieur un téléphone portable à moitié rechargé. Tel est le destin de Paul, entrepreneur Américain pris en otage et enfermé dans une boîte. Le temps file et chaque seconde qui passe le rapproche d’une morte certaine…
Les critiques en parlent :
Brazil : "Comment pourra-t-on éviter d'apprécier ce film violemment anti-américain, antimondialiste où la vie d'une personne ne pèse rien envers les sociétés actuelles ? Et de crier au miracle pour ce huis-clos exceptionnel d'intensité et de maîtrise ! "
Mad Movies : ""Buried" réussit à s'imposer tout au long de ses courtes 95 minutes comme le plus trépident des roller coasters. Un trip claustro qui se clôt par un climax tellement surprenant, jusqu'au-boutiste et poignant qu'on en ressort littéralement concassé. On n'en espérait pas tant..."
A écouter : Patrice
"Depuis la sortie très remarquée de son premier album Lions (1999), le musicien et chanteur allemand Patrice est très apprécié pour la douceur qui se dégage de sa musique, entre reggae et folk, et sa voix singulière, à la fois nasillarde et chaude. En 2008 sort son cinquième album, Free-Patri-Ation. One permet a Patrice de franchir un nouveau palier en 2010, l'artiste s'y rapproche du blues et de la néo-soul pour une nouvelle intensité.
Né à Kerpen près de Cologne le 9 juillet 1979, Patrice Bart-Williams est le fruit d'une mère allemande et de Gaston Bart-Williams, écrivain activiste sierra-léonais. Cette union polyculturelle génèrera chez lui un attrait pour les influences musicales les plus diversifiés : Fela Kuti, Bob Marley, Max Romeo, Jimi Hendrix, Billie Holiday, Charlie Parker, Louis Armstrong..." la suite à lire sur Deezer en cliquant ici ...
d'autres vidéo à écouter sur http://www.patrice.net/
à mettre dans vos favoris : un blog relatant un tour du monde en solitaire : Voyages etc ...
Un blog très bien fait, avec un contenu qui rend jaloux ....
L'auteur est partie depuis janvier 2010 sur 3 continents : http://www.voyagesetc.fr/
6 janvier a debut mars : Inde
Mars : Nepal
Avril : Hong Kong et Pekin
Mi-Avril a debut juillet : Thailande – Birmanie – Laos – Cambodge (et Java ?)
Juillet-mi aout : Australie – Nouvelle Zelande et pourquoi pas Vanuatu ou Fiji
Mi-Aout a decembre : ile de Paques, Chili, Perou, Bolivie, Argentine, Bresil
Decembre : retour en France
et donc son blog relate ses différentes étapes ....
L'auteur est partie depuis janvier 2010 sur 3 continents : http://www.voyagesetc.fr/
6 janvier a debut mars : Inde
Mars : Nepal
Avril : Hong Kong et Pekin
Mi-Avril a debut juillet : Thailande – Birmanie – Laos – Cambodge (et Java ?)
Juillet-mi aout : Australie – Nouvelle Zelande et pourquoi pas Vanuatu ou Fiji
Mi-Aout a decembre : ile de Paques, Chili, Perou, Bolivie, Argentine, Bresil
Decembre : retour en France
et donc son blog relate ses différentes étapes ....
A lire BD : La Mort de Staline de ROBIN et Nury
Hormis le fait que le dessinateur ait un super patronyme, cette bd est vraiment bonne. Comment Béria, Kroutchev et consors s'organisèrent pendant les premières minutes du décès du père du peuple.
2 très bonnes critiques
....
Grâce à cet éblouissant portrait d’une dictature plongée dans la folie pendant les deux jours qui suivirent l’attaque cérébrale de Joseph Staline, dans la soirée du 28 février 1953, à la suite de la diffusion d’un concerto de Mozart à la radio de Moscou, on retrouve avec plaisir le trait réaliste qu’utilisait Thierry Robin sur « Rouge de Chine » ou sur « Koblenz », bien avant que ce dernier se consacre exclusivement à la bande dessinée enfantine et humoristique (« Zappa et Tika » ou « Petit Père Noël » avec Lewis Trondheim). la suite en cliquant ici
Résumé de l'album : Le 2 mars 1953, en pleine nuit, Joseph Staline, le Petit Père des peuples, l'homme qui régna en maître absolu sur toutes les Russies, fit une attaque cérébrale. Il fut déclaré mot deux jours plus tard. Deux jours de lutte acharnée pour le pouvoir suprême, deux jours qui concentrèrent toute la démence, la perversité et l'inhumanité du totalitarisme. A partir de faits réels, Fabien Nury, scénariste d'Il était une fois en France, et Thierry Robin, le créateur de Rouge de Chine, signent un album éblouissant, d'un humour ravageur et cruel, portrait saisissant d'une dictature plongée dans la folie.
cliquez ici pour le site
2 très bonnes critiques
....
Grâce à cet éblouissant portrait d’une dictature plongée dans la folie pendant les deux jours qui suivirent l’attaque cérébrale de Joseph Staline, dans la soirée du 28 février 1953, à la suite de la diffusion d’un concerto de Mozart à la radio de Moscou, on retrouve avec plaisir le trait réaliste qu’utilisait Thierry Robin sur « Rouge de Chine » ou sur « Koblenz », bien avant que ce dernier se consacre exclusivement à la bande dessinée enfantine et humoristique (« Zappa et Tika » ou « Petit Père Noël » avec Lewis Trondheim). la suite en cliquant ici
Résumé de l'album : Le 2 mars 1953, en pleine nuit, Joseph Staline, le Petit Père des peuples, l'homme qui régna en maître absolu sur toutes les Russies, fit une attaque cérébrale. Il fut déclaré mot deux jours plus tard. Deux jours de lutte acharnée pour le pouvoir suprême, deux jours qui concentrèrent toute la démence, la perversité et l'inhumanité du totalitarisme. A partir de faits réels, Fabien Nury, scénariste d'Il était une fois en France, et Thierry Robin, le créateur de Rouge de Chine, signent un album éblouissant, d'un humour ravageur et cruel, portrait saisissant d'une dictature plongée dans la folie.
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A lire : BD : Berceuse assassine
" Berceuse assassine est une série de bande dessinée apparue en novembre 1997 aux éditions Dargaud et créée par Philippe Tome au scénario et Ralph Meyer au dessin.
Synopsis : Joe Telenko est un chauffeur de taxi dans un quartier glauque de la ville New York en Amérique du Nord. Il va voir son médecin car il se sent mal. Sa femme Martha est handicapée, ils ne s'aiment plus et il aimerait bien pouvoir s'en débarrasser..." source Wikipédia
Ralph Meyer en interview pour planetebd.com
envoyé par Planetebd. - Découvrez plus de vidéos créatives.
A écouter : Esperanza Spalding : un peu de jazz ...
Elle passe au mois de novembre à Paris au théâtre de l'atelier ....
Esperanza Live in DC from Terrence Cort on Vimeo.
et d'autres sur le site officiel
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