A vivre ...

Le Racing Métro s'est qualifié pour les quarts en battant Biarritz.

Malgré un départ difficile (aussi bien sur le terrain qu'à partir de la Gare Saint Lazare), un final génial.



A voir ...

Téhéran
de Nader T Homayoun

(film iranien)




"Tourné dans des conditions clandestines, comme Les Chats persans, ce film de Nader T. Homayoun mélange en l’occurrence plusieurs genres : polar urbain, mélo social, comédie à l’italienne, néoréalisme. On y suit plus particulièrement le quotidien de trois copains montés à Téhéran pour y gagner leur vie. En guise de job, ils n’ont trouvé qu’une situation de baby-sitter au service d’un réseau de trafic de bébés." Les Inrocks

"Le résultat, après neuf mois de montage sur un ordinateur portable, est une merveille d’équilibre où les personnages principaux, trois brigands tocards et sympathiques, s’enlisent peu à peu dans un sombre pétrin. C’est la première qualité de Téhéran, qui saisit plan après plan le chaos de cette ville, où l’individualisme forcené est devenu une condition de survie, pour développer une histoire qui n’a de sens qu’ici et nulle part ailleurs." Libération



A voir ....

Ajami

de Scandar Copti, Yaron Shani
(film israélien)



"C
e film est un missile. L'une des démonstrations les plus explosives et stimulantes offertes par une production israélienne pourtant prodigue en la matière. La régularité métronomique avec laquelle s'enrichit ce jeune cinéma d'auteur est décidément impressionnante." Le Monde

"La seconde excellente surprise, c’est qu’Ajami n’est pas seulement un film de gangsters, mais un remarquable film de gangsters. Deux gangs s’y affrontent de part et d’autre des frontières multiples qui fragmentent ce bout de terre vaste comme la Bretagne, de Jaffa à la Cisjordanie, de Tel-Aviv aux bleds désertiques, de la bourgeoisie aux prolétariats arabe et juif. " Les Inrocks

"C'est qu'« Ajami » ne ressemble à rien de connu, récit-puzzle dont les pièces s'assemblent pour composer le tableau du quartier de Jaffa dont il emprunte le nom, portraits croisés de membres de communautés différentes, thriller haletant aux allures de reportage, documentaire en forme de film noir, tout cela à la fois, et bien d'autres choses encore, qui justifiaient bien, en effet, que Yaron Shani et Scandar Copti y consacrent tant d'années." Le Nouvel Observateur